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Accueil Environnement

Le changement climatique va fortement ralentir la croissance | Conversation avec Adrien Bilal

parJoachim Schwartz
2 septembre 2025
dans Environnement, Interviews, Monde
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Le changement climatique va fortement ralentir la croissance | Conversation avec Adrien Bilal
AUTEUR            Joachim Schwartz
FORMAT            Interviews
DATE                  2 septembre 2025
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Adrien Bilal est macroéconomiste et professeur à Stanford. Il a été nominé au prix 2025 du meilleur jeune économiste, notamment en raison de ses travaux sur les conséquences macroéconomiques du changement climatique. Ses premières publications portaient sur les disparités spatiales et le marché du travail. Dans cette discussion, nous revenons sur l’ensemble de ses recherches.
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Joachim Schwartz – L’un de vos premiers papiers de recherche étudie le choix de localisation des ménages comme un investissement dans un actif. En quoi est-ce intéressant théoriquement ? Quelles sont les implications de cette approche pour comprendre la ségrégation spatiale ?
ADRIEN BILAL – Nous partons d’une simple observation : de nombreux ménages vivent dans des lieux qui offrent assez peu d’opportunités économiques. C’est un paradoxe pour la théorie économique, même si de nombreuses raisons peuvent être mises en avant pour l’expliquer (afin de rester proche de sa famille, parce qu’on est attaché à un emplacement, etc.). Ces explications sont bien sûr partiellement valides, mais le paradoxe n’en reste pas moins présent.
Ce que nous proposons, c’est de voir les décisions de localisation des ménages comme un choix d’investissement. Prenons l’exemple de Paris. Une des raisons qui détourne les ménages de s’installer à Paris malgré les opportunités professionnelles, c’est que le coût du logement et de la vie y est élevé. Par ailleurs, il existe une différence de temporalité entre le moment où l’on emménage à Paris et celui où l’on commence à percevoir les bénéfices économiques associés, sous la forme d’opportunités professionnelles, de salaire plus élevé, etc. À partir de données françaises, nous montrons avec mon co-auteur que les bénéfices liés au fait d’habiter dans un lieu offrant de fortes opportunités économiques ne se manifestent qu’au bout d’une dizaine d’années. Or, pendant ces années, les ménages doivent supporter le coût de la vie élevé propre à ces régions. La différence d’horizon temporel entre les coûts et les bénéfices implique que le choix de localisation est in fine une décision d’investissement : à quel point est-on prêt à payer aujourd’hui pour bénéficier dans le futur d’une certaine localisation ?
De fait, les ménages qui ont de l’épargne à disposition ou accès aux marchés financiers pour lisser leur consommation sont moins contraints par les prix du logement, ils peuvent s’installer immédiatement dans les localisations qui leur offrent les meilleures opportunités. À l’inverse, les ménages contraints par le crédit cherchent à limiter leur consommation présente, ce qui peut réduire leurs opportunités économiques futures. Modéliser le choix de localisation comme un investissement dans un actif revient à mettre en avant un mécanisme de ségrégation entre les ménages disposant d’un patrimoine préexistant et capables de payer un loyer plus cher à proximité d’un marché du travail dynamique, et ceux qui n’en ont pas et se retrouvent cantonnés dans des zones à faibles coûts mais aussi à faibles opportunités économiques. 
Dans un autre article, vous étudiez la « géographie du chômage » et vous montrez que les régions où le taux de chômage est élevé souffrent principalement d’une faible stabilité de l’emploi. En quoi est-ce un changement de paradigme ? Quels en sont les enseignements pour les politiques locales de soutien à l’emploi ?
Le résultat empirique à l’origine de l’article va en effet à l’encontre de ce que beaucoup pensaient jusqu’ici. Les disparités régionales de chômage étaient analysées de la même manière que les fluctuations agrégées du chômage. Une vaste littérature macroéconomique montre que ces fluctuations agrégées sont principalement dues à des variations de la vitesse à laquelle les chômeurs retrouvent un emploi. Un chômage élevé en période de récession est alors essentiellement dû aux difficultés à trouver un emploi. Par extension, certains ont appliqué cette même logique aux disparités régionales du chômage en considérant que les régions à fort taux de chômage étaient celles où il est plus difficile de trouver un emploi. Or, mon analyse sur les données françaises révèle le phénomène inverse : les régions fortement touchées par le chômage sont en fait celles où les travailleurs perdent rapidement leur emploi, alors même que la vitesse de retour à l’emploi y est comparable à celles où le chômage est plus faible. Je montre ensuite que les différences de stabilité de l’emploi entre les régions sont principalement dues à des différences du type d’employeur. Les régions où l’on perd facilement son emploi sont des régions où les entreprises qui y opèrent offrent des emplois peu stables. 
Ces résultats motivent une théorie du choix de localisation des employeurs entre les différentes zones d’emploi qui doit nous permettre de comprendre la ségrégation spatiale des employeurs. Les entreprises les plus productives vont offrir des emplois plus stables dans des régions dynamiques où le taux de chômage sera donc faible. À l’inverse, les employeurs les moins productifs, qui proposent des emplois moins stables, s’installent dans des régions moins dynamiques où le taux de chômage est alors plus élevé. Une conséquence inattendue de cette théorie est que les frictions sur le marché du travail impliquent que les choix de localisation des entreprises sont inefficients. C’est une manifestation spatiale d’une externalité bien connue : quand deux entreprises se font concurrence dans le même marché et qu’une entreprise est plus productive, l’entreprise la moins productive va avoir tendance à ouvrir trop d’emplois car elle n’internalise pas ses effets de congestion sur l’entreprise plus productive. Ici, j’obtiens une version spatiale de cette externalité. Dans leur choix de localisation, les firmes ne prennent pas en compte le fait qu’elles vont créer une externalité négative pour les entreprises déjà présentes dans la zone d’emploi où elles s’installent. De fait, tout le monde se concentre dans les zones d’emploi les plus productives, et dans les zones les moins dynamiques, les entreprises sont moins productives et le chômage est élevé. 
Ce résultat implique que le gouvernement centralisé a intérêt à favoriser la déconcentration de l’activité économique en incitant les entreprises les plus productives à s’implanter dans des zones d’emplois moins dynamiques. C’est en réalité ce que font déjà de nombreux gouvernements depuis plusieurs années. En France, par exemple, les zones franches urbaines sont un ensemble d’avantages fiscaux pour les entreprises qui s’installent dans des territoires caractérisés par un chômage élevé. Cette politique était difficile à expliquer dans la théorie classique. Une fois prises en compte les frictions sur le marché du travail liées aux choix de localisation des entreprises, elle apparaît totalement justifiée.
Votre article “The Macroeconomic Impact of Climate Change”, co-écrit avec Diego Känzig, a été particulièrement remarqué. La principale contribution du papier réside dans l’utilisation de variations de température au niveau mondial, et non à l’échelle locale, pour estimer les conséquences du changement climatique sur l’activité économique. Quels sont les intérêts et les limites de cette approche ? 
Pour mieux comprendre notre approche, il est intéressant de revenir quelques années en arrière et d’observer ce que faisait la littérature jusqu’alors. Il existait une différence significative entre les alertes des scientifiques du climat à propos des effets des transformations climatiques sur notre vie quotidienne, et les estimations des économistes concernant les dommages économiques liés au changement climatique. Cette dissonance s’explique par le fait que la littérature économique se focalisait sur les variations de température locales. C’est-à-dire qu’on comparait, toutes choses égales par ailleurs, l’évolution du PIB français quand il y avait une hausse de la température française d’une année sur l’autre, à l’évolution du PIB allemand quand la température allemande restait stable. Il y a pourtant une différence fondamentale entre les variations de température à l’échelle d’un pays et l’augmentation de la température moyenne mondiale, qui définit le réchauffement climatique et sert de référence aux scientifiques du climat. Par ailleurs, l’augmentation de la température moyenne mondiale est due à des phénomènes beaucoup plus complexes – et potentiellement beaucoup plus dommageables – que les chocs de température locaux. Avec D. Känzig, nous avons essayé d’estimer l’impact des fluctuations de température mondiale sur l’activité économique, et il se trouve qu’il y a, dans le passé, suffisamment de variation pour le faire. 
Nous obtenons une estimation de l’impact du changement climatique sur le PIB six à sept fois plus grande que les estimations précédentes fondées sur la température locale. Par degré Celsius de réchauffement permanent, on passe d’un effet de long terme de 3% à 23%. Si la planète se réchauffe de trois à quatre degrés à la fin du siècle, cela représenterait une perte de PIB de 50 à 80% par rapport au niveau de référence (i.e. au scénario contrefactuel sans réchauffement). Il pourra bien sûr y avoir de la croissance d’ici là, mais elle sera fortement ralentie.
Ces résultats reposent sur une approche en séries temporelles plutôt qu’en panel. Nous exploitons des fluctuations de la température mondiale qui sont déterminées par un ensemble de facteurs, comme les cycles solaires par exemple, et ne sont pas reliées directement à l’activité économique. L’identification est donc tout aussi valide que les méthodes conventionnelles fondées sur la température locale, car les hypothèses sont identiques.
Les limites de cette approche sont également les mêmes que celles pour l’approche par les fluctuations de température locales. Nous utilisons des fluctuations de température de l’ordre de 0.1 ou 0.2 degrés qui sont plus faibles que les contrefactuels qui nous intéressent à +3 ou +4 degrés. Cela rend difficile à prendre en compte les non-linéarités. Elles pourraient être dues soit à des points de bascule, et les dommages seraient convexes, soit à l’adaptation, qui donnerait aux dommages une forme plus concave. De ce fait, on peut donc soit sous-estimer soit surestimer l’impact du changement climatique.
Étant donné que vous utilisez les variations de température mondiales, vos estimations de l’impact macroéconomique du changement climatique et du coût social du carbone sont bien plus élevées que ce qui existait jusqu’ici dans la littérature. Comment expliquer de telles différences ? 
La première explication que nous explorons repose sur des effets d’équilibres généraux et sur l’interconnexion due au commerce international. En testant cette hypothèse, nous constatons qu’elle joue un rôle relativement marginal. Puisque, dans la plupart des pays, l’ouverture au commerce international contribue d’environ un tiers au PIB, l’effet d’amplification n’est que d’un tiers, et il ne permet pas d’expliquer l’intégralité de la différence qui est plutôt un facteur six.
Nous nous sommes ensuite penchés sur une explication d’ordre géophysique fondée sur les approches des scientifiques du climat. Une augmentation de la température moyenne mondiale entraîne une série de phénomènes potentiellement beaucoup plus dommageables que des épisodes de chaleur localisés. Nous corroborons cette interprétation en deux étapes. Premièrement, nous montrons que les effets du changement climatique sur l’activité économique sont davantage déterminés par la température océanique que par la température terrestre. Autrement dit, les fluctuations de température océanique ont des effets bien plus importants sur le PIB que la température terrestre. Ensuite, nous estimons séparément l’impact d’un ensemble d’évènements climatiques extrêmes (vagues de chaleur, sécheresse, vents forts, etc.) et leurs liens avec les fluctuations de température mondiales. Nous menons un exercice de décomposition pour déterminer quelle partie de nos estimations peut être expliquée par ces canaux locaux indirects. Il en ressort qu’environ la moitié à deux tiers des effets sur le PIB peuvent être expliqués par ces phénomènes. De fait, en additionnant une série d’événements extrêmes, il est possible de se rapprocher de l’estimation obtenue grâce aux fluctuations de température mondiale, mais il reste une part inexpliquée par les canaux locaux. L’avantage de raisonner à partir de la température mondiale réside ainsi dans le fait que nous capturons directement l’entièreté de l’effet.
L’une des implications de vos résultats, que vous développez dans un autre papier de recherche, est que les politiques de décarbonation sont rentables même si elles sont unilatérales. Pourquoi ?
Dans le cadre conventionnel d’un coût social du carbone calculé à partir des dommages d’une variation locale de la température, les politiques de décarbonation sont validées par l’analyse coûts-bénéfices uniquement si elles sont coordonnées au niveau mondial. Le coût mondial de la décarbonation se situe en effet autour de 60$ par tonne de CO², alors que le bénéfice mondial est d’environ 200$. Mais quand on fait une analyse coûts-bénéfices à l’échelle d’un pays, la perspective est différente puisqu’il est nécessaire d’ajuster le coût du carbone en fonction de la part des dommages attribuée à chaque pays. Puisque chaque pays contribue de façon assez faible à l’activité mondiale, le coût domestique du carbone calculé de façon conventionnel est toujours plus faible que le coût de la décarbonation, même pour une grande économie comme les Etats-Unis où le coût domestique du carbone est alors d’environ 30$ par tonne. Dans ce cadre, les politiques de décarbonation unilatérales ne seraient pas rentables.
Cependant, avec nos estimations fondées sur la température mondiale, le coût social mondial du carbone augmente, et les coûts domestiques font logiquement de même. De fait, pour les Etats-Unis ou pour l’Union européenne, le coût domestique du carbone passe à environ 200$ la tonne, alors que le coût de la décarbonation est toujours d’environ 60$ la tonne. Il devient rentable de mener une politique de décarbonation même quand elle est unilatérale. Nous comparons notre coût du carbone à une courbe d’abattements (coûts de la décarbonation à différentes échelles) et nous trouvons qu’il est rentable de décarboner de façon unilatérale jusqu’à 80% de l’économie étatsunienne et de l’économie européenne. L’ensemble de ces résultats plaide en faveur de politiques de décarbonation unilatérales bien plus ambitieuses. 
Depuis les analyses de Nordhaus sur la trajectoire optimale de réchauffement, les économistes sont parfois présentés, certes de façon un peu caricaturale, comme les ennemis du climat, alors même que les décideurs publics leur prêteraient une oreille plutôt attentive. A quel point vos travaux confirment-ils que la lutte contre le changement climatique est aussi une nécessité économique ? Les économistes ont-ils pris conscience de la gravité du sujet ?
Je vais essayer de défendre un peu les économistes. Nordhaus a mené ses analyses avec les résultats empiriques dont il disposait à ce moment-là. Je ne suis pas certain que les économistes avaient un a priori contre la question climatique, mais leurs analyses coûts-bénéfices prédisaient des dommages économiques faibles, et donc une trajectoire de réchauffement optimale assez élevée. Les scientifiques du climat anticipaient un fort impact du changement climatique sur notre vie quotidienne, sans quantifier les effets économiques. La révision des outils et des méthodes d’analyse économique que nous avons mené avec Diego Känzig change l’analyse coûts-bénéfices, ses résultats et ses implications. Toutefois, il reste encore de nombreuses choses à améliorer dans nos estimations, notamment en ce qui concerne l’hétérogénéité des impacts selon les différents types de ménages.
Justement, en quoi le raisonnement économique, fondé sur des analyses coûts-bénéfices, peut-il inciter davantage les dirigeants à l’action que les discours d’autres scientifiques ?
Toute politique publique se fonde, au moins en partie, sur une analyse coûts-bénéfices. Il est important de savoir combien coûte la politique et de comparer ces coûts avec les gains potentiels. Or, cette analyse est le propre de l’économiste. C’est un premier élément de réponse. Par ailleurs, notre approche à l’avantage de prendre en compte de nombreux types de dégâts différents et de les agréger. En revanche, nos outils sont encore limités pour la biodiversité par exemple. Lauriane Mouysset (également nominée pour le prix du meilleur jeune économiste 2025, ndlr) travaille à améliorer notre approche de ce sujet.
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Joachim Schwartz

Joachim Schwartz

Élève à l'École normale supérieure de Lyon

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