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Une économie politique du développement – Conversation avec Benjamin Marx

parJoachim Schwartz
11 mars 2025
dans Interviews, Monde, Sciences Eco
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© Alexis Lecomte / Sciences Po

© Alexis Lecomte / Sciences Po

AUTEUR            Joachim Schwartz
FORMAT            Interviews
DATE                  12 mars 2025
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Benjamin Marx est économiste à l’Université de Boston. Il a été nominé au prix 2024 du meilleur jeune économiste décerné par le journal Le Monde et par Le Cercle des Économistes. Ses travaux de recherche portent sur l’économie politique du développement et sur le rôle joué par les institutions religieuses dans le développement économique.
Follow @Benjamin_Marx Follow @BU_Economics
Joachim Schwartz – Vos travaux sont à la croisée de deux sous champs de la discipline économique, l’économie politique et l’économie du développement. En quoi est-ce pertinent de faire une économie politique du développement ?
BENJAMIN MARX – Il y a deux angles d’approche. On peut parler d’économie politique du développement au sens de Daron Acemoğlu, Simon Johnson et James Robinson (qui ont tous les trois reçu le « prix Nobel d’économie » en 2024 pour leurs travaux sur le rôle des institutions comme déterminant de la prospérité économique, ndlr), mais on peut aussi parler d’économie politique dans les pays en développement, qui inclut un faisceau de questions liées aux à la gouvernance, au rôle de l’Etat, aux élections, ou à la religion dans les sociétés contemporaines. En ce qui me concerne, mon parcours a commencé par l’économie du développement proprement dite. J’ai travaillé pour le J-PAL (Abdul Latif Jameel Poverty Action Lab, laboratoire de recherche en économie du développement fondé par Abhijit Banerjee, Esther Duflo et Sendhil Mullainathan, ndlr) en Sierra Leone. J’ai également coordonné des projets de recherche au Kenya et en Ouganda. En travaillant sur ces projets de terrain, et ayant étudié les autres sciences sociales à Sciences Po, j’ai appréhendé l’importance, voire l’omniprésence des questions d’économie politique dans la vie quotidienne. Au cours de ma thèse, je me suis ensuite spécialisé au carrefour de ces deux champs – l’économie politique et l’économie du développement – et j’ai travaillé avec des chercheurs qui travaillent sur ces problématiques, dont Daron Acemoğlu, qui était l’un de mes directeurs de thèse.
Je me suis notamment intéressé aux élections en Afrique et à leur impact sur la performance des gouvernements. Comment la simple perspective d’un scrutin national peut-elle influencer la mise en œuvre des programmes de développement ? L’un des chapitres de ma thèse étudie l’influence du calendrier électoral sur l’exécution par les gouvernements des projets financés par la Banque mondiale. Plus l’échéance d’une élection approche, plus les gouvernements accélèrent la réalisation de ces projets. De plus, lorsque des projets sont menés à leur terme dans une région donnée, le pouvoir en place en tire un bénéfice électoral direct, renforçant ainsi ses chances de réélection. C’est ce que j’appelle dans cet article l’effet « ribbon cutting » (« coupe du ruban », ndlr), qui est un phénomène largement répandu : les dirigeants politiques veillent à finaliser certains projets juste avant une élection afin de maximiser leur capital électoral et de limiter le risque d’alternance. Depuis la fin de ma thèse, j’ai porté ces thématiques en dehors de l’Afrique, notamment en Indonésie et dans le reste du monde grâce à une série de projets avec Vincent Pons et Vincent Rollet sur les élections et la démocratie, bien que les pays en développement restent au cœur de mes travaux de recherche.
Vous avez en particulier étudié le comportement électoral dans certains pays d’Afrique, comme au Kenya ou en Ouganda, quelles conclusions ressortent de vos recherches ?
La question centrale que nous posons dans ces articles est la suivante : dans des contextes où la démocratie est jeune et fragile, comment peut-elle parvenir à se consolider ? Le contexte du Kenya est à cet égard particulièrement éclairant. A cette époque, le pays sortait d’un épisode meurtrier de violences interethniques consécutif à l’élection présidentielle contestée de 2007. Ce traumatisme avait conduit à l’adoption d’une nouvelle constitution et à une refonte complète du système électoral, désormais supervisé par une commission électorale indépendante chargée de restaurer la confiance du public.
Cette commission électorale joue un rôle clé, sa neutralité et sa légitimité étant cruciales pour assurer le bon fonctionnement du processus démocratique. Grâce à un partenariat avec cette commission, nous avons pu mettre en œuvre et évaluer différentes approches visant à accroître la participation électorale et à renforcer la confiance dans les institutions. Ironie du sort, alors que nous menions ces recherches au Kenya il y a plus de dix ans, c’est aujourd’hui le monde occidental qui s’interroge sur l’érosion de ses propres institutions démocratiques, le ressentiment massif des électeurs, et la montée du populisme.
L’article sur l’Ouganda s’inscrit dans un contexte différent. Ce pays fonctionne sous un régime que l’on pourrait qualifier d’« autocratie électorale » : des élections présidentielles et parlementaires y sont organisées tous les quatre ans, comme le prévoit la constitution, mais elles sont entachées de graves irrégularités. L’une des tactiques les plus courantes de manipulation électorale est l’achat de votes, qui prend la forme de dons en nature ou en espèces distribués aux électeurs par les candidats. En tant qu’économistes, nous avons cherché à comprendre le fonctionnement de ce marché du vote, les facteurs qui influent sur l’offre et la demande, ainsi que les leviers permettant d’endiguer cette pratique illégale mais omniprésente. Notre étude analyse l’impact d’une campagne d’information dont le slogan – «eat widely, vote wisely» – est devenu le titre de l’article. Cette campagne visait non seulement à limiter la distribution de dons dans les villages, mais aussi à sensibiliser les électeurs à leur propre liberté de choix, en les encourageant à ne pas laisser ces incitations financières influencer leur vote.
Vous vous intéressez également au processus électoral à travers le monde. Un de vos papiers, coécrit avec Vincent Pons et Vincent Rollet (bientôt publié dans la prestigieuse revue Review of Economic Studies) s’intéresse aux conséquences des « electoral turnovers ». De quelles situations parle-t-on ? Quelles sont vos conclusions ?
Cet article contient deux innovations. L’une est méthodologique, puisque nous réalisons une regression discontinuity design (méthode d’identification causale dans laquelle les observations “traitées” sont proches des observations “contrôles”, les deux groupes étant uniquement séparés par un seuil considéré comme exogène, ndlr) en utilisant un échantillon d’élections à l’échelle nationale – et donc provenant de pays du monde entier. Jusqu’ici, la majorité des études de ce type comparait uniquement des élections au sein d’un même pays. Nous avons collecté des données sur l’ensemble des élections présidentielles et parlementaires conduites dans le monde depuis 1945. Une partie de l’article cherche à démontrer la validité de notre approche économétrique qui compare des élections dans des pays différents, et de répondre aux questions méthodologiques que pose une telle approche.
La seconde innovation est d’ordre empirique. Nous étudions les changements en matière de performance économique (croissance, inflation, chômage) induits par l’alternance électorale (cf. Vincent Pons dans Oeconomicus). En économie politique, la question des effets de l’alternance est peut-être l’une des plus importantes et universelles : toute élection, ou presque, met les électeurs face à un choix entre un pouvoir en place représentant le statu quo, et un pouvoir d’opposition. Mais l’alternance politique change-t-elle réellement quelque chose pour la vie des citoyens ? La base de données que nous avons construite et notre stratégie empirique fondée sur une RDD permettent de répondre précisément à ces questions.
Pour différentes raisons liées notamment à la théorie de l’électeur médian, qui suggère que sous certaines conditions l’offre politique se recentre sur les préférences de l’électeur positionné au milieu du spectre politique, et parce que l’alternance peut aussi être facteur d’instabilité et d’incertitude, notre hypothèse initiale n’était pas nécessairement que celle-ci aurait des effets positifs sur l’économie. Pour autant, notre article met en évidence le fait que l’alternance a des retombées favorables, observables entre un et cinq ans après une élection. L’inflation, le chômage, le commerce international et la qualité des institutions démocratiques évoluent positivement à la suite d’un changement de gouvernement. Nous constatons également une amélioration de l’indice de développement humain, mais celle-ci est plus graduelle, sans doute en raison de l’effet progressif des meilleures conditions économiques induites par ces transitions électorales.
Est-ce que vos résultats pourraient entrer en résonance avec les propos de T. Piketty et J. Cagé dans leur dernier ouvrage Une histoire du conflit politique, où ils avancent que la bipartition est bénéfique pour un pays (et préférable à une tripartition) ?
En partie seulement. Si Julia Cagé et Thomas Piketty insistent sur les effets de la bipartition, nos résultats, eux, s’appliquent aussi aux élections impliquant plus de deux partis. Leurs travaux mettent en lumière l’importance de la structuration de l’offre politique, tandis que nous soulignons avant tout le rôle du changement et du renouvellement politique. L’alternance s’avère bénéfique, car elle insuffle un nouvel élan démocratique. À l’inverse, lorsqu’un même parti se maintient trop longtemps au pouvoir, la démocratie tend à s’affaisser, notamment à travers une montée de la corruption, comme nous le démontrons dans notre étude.
Une partie essentielle de notre article s’attache à analyser les mécanismes sous-jacents à cet effet positif de l’alternance. Nous mettons en particulier l’accent sur les modèles dits de political agency, qui illustrent combien les incitations des responsables politiques influencent leurs décisions. Nos résultats montrent que ces incitations sont les plus fortes en début de mandat, juste après l’accession au pouvoir. C’est à ce moment que les gouvernements se révèlent les plus dynamiques et innovants. Ce phénomène explique pourquoi la notion des « cent jours » revient si fréquemment dans les débats électoraux, notamment lors des élections présidentielles françaises.
Un autre de vos domaines de recherche concerne la religion comme moteur ou comme frein au développement économique. À première vue, cela peut paraître assez surprenant. Qu’est-ce que la religion a donc à voir avec le développement économique ?
Ce qui m’intéresse avant tout, c’est d’analyser la religion non seulement comme un ensemble de croyances, mais aussi comme un réseau d’institutions, de cultures et de pratiques qui peut, selon le contexte, faciliter ou freiner le développement, ou demeurer un facteur neutre. Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à ces sujets, la littérature économique sur ces questions était encore assez restreinte. L’essentiel des travaux se concentrait sur l’histoire économique, notamment sur l’essor du capitalisme. Inspirés par les travaux de Max Weber sur le rôle de l’éthique protestante dans le développement du capitalisme, des économistes comme Sascha Becker ont mis en avant un autre facteur déterminant : l’accroissement du capital humain après la Réforme protestante.
Mon intérêt pour les pays en développement m’a naturellement conduit à explorer l’Islam, une religion qui joue un rôle central dans de nombreux pays d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie du Sud-Est. Pourtant, les travaux économiques sur l’impact des institutions islamiques – omniprésentes dans ces régions – restaient encore très limités. De nombreuses institutions, mal comprises et peu étudiées, méritaient une attention plus approfondie.
Mon premier article sur l’Islam en Indonésie s’intéresse au rôle du waqf, une institution clé dans l’histoire du monde musulman. Les waqf sont des instruments de type fondation caritative, à vocation religieuse et inaliénables, visant à financer des biens publics ou des établissements islamiques tels que des mosquées, écoles, etc. Mais l’immobilisation à perpétuité de ressources importantes dans un waqf (par exemple, pour contourner les règles portant sur l’héritage ou la redistribution) peut empêcher leur réallocation vers d’autres usages lorsque ceci est nécessaire. À la fin de l’Empire Ottoman, une part importante des terres était ainsi figée sous ce régime. Selon certains historiens, ceci aurait contribué à freiner l’industrialisation du monde musulman, alors même que l’Europe connaissait un essor sans précédent.
Dans cet article, nous analysons les conditions d’émergence du waqf en Indonésie et l’impact d’une réforme agraire qui a conduit de nombreux propriétaires terriens à établir des waqf, immobilisant ainsi une part significative des ressources foncières du pays. À long terme, cette réforme a eu des répercussions politiques majeures, renforçant le soutien électoral aux partis islamistes et favorisant l’essor de tout un écosystème institutionnel islamique dans les régions où l’institution du waqf est très présente. Nous montrons également que les régions concernées par cette réforme ont ensuite enregistré une productivité agricole plus faible que les autres.
Vous étudiez enfin les processus de formation d’une nation ou d’un Etat. L’un de vos papiers se concentre sur le cas de la Révolution française. La méthode que vous utilisez est assez singulière, pouvez-vous la présenter ? Et quels sont les résultats de l’article ?
Cet article s’inscrit plus précisément dans le champ de l’économie politique du développement au sens d’Acemoğlu : l’objectif est d’analyser l’histoire et l’évolution des institutions pour mieux comprendre leurs conséquences sur le développement économique.
A l’origine de ce projet, nous nous sommes intéressés aux travaux d’historiens portant sur le redécoupage administratif opéré au début de la Révolution Française. Dès les premiers mois de la Constituante (l’Assemblée nationale chargée d’établir une constitution après les États généraux de 1789, ndlr), l’une des priorités était de mettre fin au morcellement administratif de l’Ancien Régime en instaurant un système plus rationnel. C’est ainsi qu’a émergé, en février 1790, l’architecture administrative pyramidale que nous connaissons aujourd’hui, avec Paris au sommet suivi des départements et de leurs chefs-lieux, devenus préfectures en 1800.
Ce redécoupage administratif, effectif dès février 1790, fut décidé très rapidement, en un an et demi, et dans un contexte extrêmement tendu. Certains choix ont été faits dans l’urgence, sans résoudre d’anciennes rivalités politiques entre villes voisines. En conséquence, plusieurs départements étaient artificiels, sans véritable cohérence historique ou géographique. Dans 25 d’entre eux, que nous identifions dans notre étude, la désignation du chef-lieu a soulevé de fortes tensions locales. Faute de temps, la Constituante a refusé de trancher et dans de nombreux cas a instauré un système d’alternat entre plusieurs villes, une solution qui s’est rapidement révélée impraticable. L’alternat a ainsi été abandonné, et la ville où siégeait alors l’administration départementale fut désignée chef-lieu de manière quasiment aléatoire.
Notre stratégie d’identification repose sur une comparaison entre les villes ayant été candidates au statut de chef-lieu, mais non retenues, et celles qui l’ont finalement obtenu. Nous analysons les conséquences économiques liées à cette désignation, et les résultats sont surprenants. Dans un premier temps, la capacité extractive de l’État – à travers la collecte des impôts, la conscription militaire et la construction de bâtiments publics comme les tribunaux et les prisons – s’est fortement accrue dans les nouvelles capitales départementales. Toutefois, les bénéfices économiques locaux n’ont commencé à se manifester qu’au milieu du XIXᵉ siècle, lorsque les chefs-lieux ont progressivement tiré parti de leurs avantages en matière d’infrastructures publiques, comme le télégraphe et le chemin de fer.
De manière notable, aucune divergence démographique significative n’apparaît avant cette période. Ce décalage temporel entre le renforcement de l’appareil coercitif de l’État et les effets économiques positifs est particulièrement intéressant. À court terme, l’augmentation de la pression fiscale et de la conscription aurait pu même conduire à des départs de population. Ce n’est que sur le long terme que les investissements initiaux ont commencé à produire des effets favorables, entraînant une croissance démographique très prononcée dans les chefs-lieux. Aujourd’hui, l’écart moyen entre ces villes et les autres villes candidates qui n’ont pas été choisies est considérable, mais il ne s’est creusé que progressivement au fil du temps.
Sujets Economie du développementéconomie politiqueMeilleur jeune économistePrix du MJE
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Joachim Schwartz

Joachim Schwartz

Élève à l'École normale supérieure de Lyon

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